Burkina
Faso organiza del 23 de febrero al 2 de marzo el Festival Panafricano
de Cine y Televisión de Ouagadougou denominado FESPACO. Este año
Gabón es el país invitado. Para la ocasión, 36 países
participarán y un total de 101 películas serán proyectadas.
Cualquier
película puede ser proyectada, africana o no africana.
Burkina tendrá la oportunidad de presentar nueve películas. La 23
edición del FESPACO tiene por tema, “cine africano y políticas
públicas en África”, según Michel Ouedrago Director General de
la ceremonia. Los cineastas podrán a través de esta edición
resolver los diferentes problemas que obstaculizan el séptimo arte,
el cine africano en general y en particular el de Burkina Faso.
Burkina tiene muchos problemas cinematográficos. Las salas de cine
son escasas (se cuentan con los dedos de una mano) y esto es un buen
ejemplo, al que se añade el de la piratería. El programa comprende
la proyección de películas y la entrega del gran premio que es el
trofeo “Caballo de oro de Yennega”.
Todo
el mundo puede pagar y participar en las proyecciones de películas
durante el FESPACO. Sin embargo, no todas las películas son
aceptadas en el festival. La prueba es que de las 500 cintas
presentadas solo 101 han sido aceptadas. Las películas deben
responder a los criterios de elección, entre los cuales está el
panafricanismo que promueve el FESPACO. El aspecto panafricano de
las películas prima ante todo.
En
Burkina no hay suficientes salas de cine. La gran mayoría se
encuentra en las ciudades de Ougadougou y Bobo-Dioulasso. En total,
no superan la veintena. Personalmente, no me gusta ir al cine,
prefiero ver películas en casa. Voy de vez en cuando. Por lo
general, hay mucha gente que va al cine. El precio de la entrada
varía según la película y según la calidad de la sala. Existen
salas donde la entrada cuesta 1000 FCFA.
Roukiéta Rouamba, estudiante, 20 años
Burkina Faso organise du 23 au 02 mars le Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou appelé couramment FESPACO. A cet effet, le Gabon est le pays invité d'honneur. A l'occasion de cette fête, 36 pays participeront avec 101 films qui seront présentés. N'importe quel film peut être projeté, africain ou non africain. Le Burkina Faso aura la chance de présenter 09 films. Toujours dans la même lancée, il faudra savoir que la 23è édition du FESPACO a pour thème, selon Michel Ouedraogo, Directeur Général de la cérémonie, "cinéma africain et politiques publiques en Afrique". Les cinéastes pourront à travers cette édition résoudre les différents problèmes qui entravent le 7è Art, le cinéma africain en général et en particulier celui du Burkina. Car le Burkina Faso a beaucoup de problèmes cinématographiques. Les salles cinématographiques en font défaut (elles se comptent au bout du doigt) et cela est un exemple probant, à cela s'ajoute la piraterie. Au programme il y aura la projection des films et la récompense dont le plus grand des trophées sera "l'étalon d'or de Yennega".
Il faudrait savoir que tout le monde peut payer et participer à la projection des films lors du FESPACO. Cependant tous les films ne sont pas acceptés au festival. La preuve en est que sur plus de 500 films déposés, seulement 101 ont été retenus. Il faut des films qui répondent aux critères de choix parmi lesquels le panafricanisme dont prône le FESPACO. L'aspect panafricain des films prime avant tout.
Au Burkina Faso il n’y a pas assez de salles cinématographiques. La plupart se trouve dans les villes de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso. Elles ne dépassent pas une vingtaine. Personnellement je n'aime pas aller au ciné, je préfère suivre mon film à la maison. J'y vais de temps en temps. Habituellement nombreux sont les gens qui y vont. Le billet d'entrée varie selon le film et selon la valeur de la salle. Il y a de ces salles ou l’accès coûte 1000FCFA.
Roukiéta Rouamba, étudiante, 20 ans
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